Version officielle - James Renner
Alors on pourrait trouver à redire que le deuxième tiers du roman est le ventre mou du roman : la narration souffre du manque de personnages pour un roman aussi ambitieux. Péché véniel. Mais cela est bien peu de choses eu égard à une narration qui cheville le lecteur de bout en bout et un final particulièrement bien trouvé. James Renner apparaît comme le digne cousin américain de l'Antoine Bello des Falsificateurs, ce qui n'est pas le moindre des compliments.
Une belle réussite qui augure un excellent faiseur d'histoires.
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